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Cessez de caricaturer notre position sur les trans!

1 février 2019 Annie-Ève Collin Laisser un commentaire

Dans la foulée de la controverse de Nadia El-Mabrouk et sa soi-disant transphobie, on a entendu une accusation qui est…

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Faire, ou ne pas faire des enfants (2)

12 décembre 2018 Olivia Pelka 5 Comments

Sauver l’humanité… au prix de sa propre humanité? Devrait-on choisir de ne pas avoir d’enfants pour sauver la planète? J’avoue…

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Publié dans : Écologie, Maternité et paternité

Faire, ou ne pas faire des enfants (1)

Daniel Gagnon Laisser un commentaire

Faut-il s’effacer pour sauver la planète? Je suis couché dans l’herbe tendre et je rêvasse reconnaissantDevant moi la ville s’écrouleDevant…

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Publié dans : Écologie, Maternité et paternité

Le SPVM recule… les offensés avancent

24 novembre 2018 Olivia Pelka Laisser un commentaire

Aujourd’hui, je suis en colère à cause de la lâcheté du SPVM qui, devant la pression des habituels offensés-chialeux qui…

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Publié dans : Éducation, Femmes, Hommes, Sexualité, Violence

Lettre à Dominic Champagne

14 novembre 2018 Benoit Séguin 4 Comments

  À plusieurs reprises, vous avez traité de « trolls » les gens qui ont exprimé publiquement leurs réserves par rapport au…

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J’ai mal à mon féminisme

12 juin 2018 Annie-Ève Collin 1 commentaire

 J’apprends par le Huffington Post que Jérôme Blanchet-Gravel a pris la décision de porter plainte à la Commission des droits de la…

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Publié dans : Non classé

Moineaux et moinelles, intersectionneaux et intersectionnelles

10 mai 2018 Annie-Ève Collin 1 commentaire

Mon néologisme : les intersectionneaux Mon opposition farouche au féminisme intersectionnel, et l’impertinence que je me permets souvent quand j’en…

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Publié dans : Féminisme, Masculinisme

Maxime Olivier Moutier analyse le néoféminisme

4 avril 2018 Benoit Séguin Laisser un commentaire

Le Devoir s’est chargé de descendre le dernier livre de Maxime Olivier Moutier, L’Inextinguible : à n’en point douter, voilà un…

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Publié dans : Éducation, Féminisme, Femmes, Hommes, Monde du travail, Non classé

Parité, équité, tasse de thé

19 mars 2018 Annie-Ève Collin Laisser un commentaire

Louis-Jean Cormier a commis un «péché» : celui de s’opposer à la parité. S’y est-il vraiment opposé ? Pas tout…

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Publié dans : Égalité, Monde du travail, Non classé

La Tribu – Première partie : Quand les femmes font étalage de leur vie privée sur les réseaux sociaux

16 mars 2018 Olivia Pelka 10 Comments

Récemment, sur Facebook, au cours d’une discussion animée sur une page de débats, quelqu’un a émis un commentaire un tantinet…

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Publié dans : Femmes, Hommes, Médias sociaux

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Les blogueurs

Annie-Ève CollinAnnie-Ève Collin

Quand j’étais adolescente, mes parents disaient en riant affectueusement que j’étais militante féministe depuis que j’ai appris à parler. Je réagissais aux stéréotypes sexistes que je constatais dans les contes, dans les films.
J’ai étudié surtout en philosophie, le sujet de mon mémoire de maîtrise était les rapports entre les droits des femmes et le multiculturalisme. Je me suis aussi intéressée à diverses autres disciplines, notamment la biologie, la primatologie, la sociologie.
Je suis membre de Pour les droits des femmes du Québec (PDF-Québec). Je suis très critique du féminisme intersectionnel (envers lequel j’aime bien faire des remarques assassines à l’occasion). Vous constaterez, dans mes écrits, que j’accorde une grande importance à la logique et à la réalité, aux faits (ce qui ne veut pas dire que je ne fais jamais d’erreurs, j’en fais comme tout le monde, mais je refuse de tordre volontairement les faits dans des objectifs idéologiques).
Je suis très critique du discours sur le genre, de ce qu’est devenu le militantisme LGBTQ ; ce dernier sert aujourd’hui à véhiculer une misogynie décomplexée, et malheur aux femmes qui oseraient s’y objecter, elles seront classées comme TERF (trans exclusionnary radical feminist, féministe radicale qui exclut les trans). J’ai décidé de me réapproprier cette expression censée être injurieuse : je suis une TERF et fière de l’être. Je suis certes favorable à ce que les personnes trans jouissent des mêmes droits fondamentaux que tous, mais pas au détriment des femmes.
Je suis également anti-théiste et je considère que l’égalité entre les hommes et les femmes n’est possible qu’avec une laïcité ferme et clairement affirmée.

Benoit SéguinBenoit Séguin

Ce qui m'intéresse par dessus tout dans le cadre de ce blogue, c'est l'étude du biais féministe dans les médias de masse du Québec.
De nombreux mots et expressions entrent quotidiennement dans notre cerveau et participent à coloniser nos esprits : « Inégalité », « encore du travail à faire », « victime du patriarcat », « culture du viol », « écart salarial », etc. Vous pouvez compter sur moi pour passer au peigne fin ces formules consacrées lorsque les médias en abuseront.
Je m'inspire entre autres de la démarche du linguiste américain Noam Chomsky (Propagande, médias et démocratie) qui s’emploie depuis un demi-siècle à démontrer que nos médias, instrumentalisés par certaines élites, se font régulièrement les porte-voix d'idées reçues qu'ils prennent pour des prémisses indiscutables.
Montréalais de naissance et de culture, j’ai choisi la vie rurale au coeur d’un village de Lanaudière où je vis avec ma famille depuis une quinzaine d’années.
Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en littérature ainsi que d’un certificat en éducation, j’ai d’abord enseigné au secondaire avant de me tourner vers le cégep où j’enseigne la littérature depuis plus de vingt ans.
Auteur de deux pamphlets, Pour en finir avec l’école sacrifiée et Le Grand Mensonge de l’éducation (coécrit avec deux enseignants), je me consacre désormais à l’écriture romanesque : Le Pont des p’tites misères, La voix du maître, Et le Vent a soufflé sur la glaise.
Mon combat est centré sur l’éducation et la famille.
Ni à gauche ni à droite, pourtant héritier de ces deux tendances, je cherche constamment le centre à travers ma lecture du monde, celle que je vois se déployer ici, au Québec, dans le regard de mes enfants et de mes élèves.

Daniel GagnonDaniel Gagnon

Homme de contrastes, je suis né et j’ai grandi dans un quartier résidentiel à la campagne dans Charlevoix. Descendant, côté maternel, d’une famille d’intellectuels «de la grande ville» et du côté paternel de bâtisseurs du haut du Lac-Saint-Jean, j’assume fièrement cet héritage et cette dualité. Orphelin de père à 7 ans, artiste dans l’âme, j’ai inconsciemment cherché toute mon adolescence des modèles d’hommes forts et inspirants, me réfugiant dans les livres, mon imaginaire et une certaine passivité, souvent en marge de ma véritable nature masculine.

Après un DEC en arts et un baccalauréat en communication graphique, j’ai fait carrière comme communicateur visuel dans une multitude d’entreprises de presse, de design graphique et d’agences publicitaires, mettant à contribution mes talents créatifs autant que ma réflexion stratégique. Mes convictions m’ont très souvent porté vers les causes et clientèles du domaine de l’éducation, sociale et sociétale.

Père à temps plein de deux jeunes enfants, garçon et fille, je suis un "homme autonome", comme disait la chanson. Il y a quelques années, ma perception des enjeux de société qui concernent les hommes et les femmes a basculé suite à une séparation et des déboires juridiques catastrophiques, qui m’ont amené à me questionner profondément sur le couple, la justice, les dynamiques de violence conjugale et psychologique, et surtout sur les préjugés d'une société aux discours parfois manipulés par certains lobbys. Du posturalisme consensuel, je suis donc passé à une lucidité quelque peu désenchantée et à une franchise «à visière relevée». Je ne supporte pas l’hypocrisie et la rectitude politique. Je conserve toutefois la volonté ferme de demeurer bienveillant et sensible aux autres.

Anthropologue du dimanche depuis toujours, ma fascination pour l’humain et ses dynamiques ne s’est jamais démentie. Débatteur passionné, je m’intéresse aux enjeux de la société québécoise par un développement exhaustif de toutes les nuances et une recherche constante du «juste milieu», mais il m’arrive aussi de cristalliser ma pensée dans une conclusion-choc sans équivoque, digne d’un slogan publicitaire. Ou de témoigner avec humilité et franchise de ma vie d’humain, de citoyen, de conjoint et de père, en assumant pleinement la voix incarnée et l’autorité de l’homme de 48 ans que je suis, et que j’ai finalement retrouvé.

Jean-François GuayJean-François Guay

Jean-François Guay est auteur, journaliste et conférencier. Diplômé en art et technologies des médias, il a travaillé comme caricaturiste dans plusieurs quotidiens, dont La Presse, et a publié plusieurs articles dans Summum dont un dossier percutant sur les injustices du système judiciaire. Divorcé, il est père de trois adolescents dont il a la garde à temps plein.

Il est l'auteur de la collection de livres érotiques Osé qui s'est vendue à plus de 5000 exemplaires. Alors que peu d'hommes au Québec se sont aventurés sur le terrain de la littérature érotique, Jean-François Guay démontre à travers sa plume fine et lubrique que ce n'est pas une chasse gardée féminine: Osé se démarque tant par le côté intimiste de ses histoires que par des scénarios réalistes et sensibles dans lesquels il est facile pour le lecteur de se projeter.

M. Guay est aussi auteur d'un essai sur les dérapages de la rupture amoureuse à paraître prochainement.

En 2013, il donnait une conférence à l'occasion de la journée de l'homme sur un aspect méconnu de la violence conjugale : l'utilisation à mauvais escient du système judiciaire contre les hommes.

En 2016, il donnait une série de conférences, notamment au Salon de l'homme de Montréal sur :
Érotisme, le pouvoir de fantasmer à deux
L’importance de développer une grande intimité sexuelle pour nourrir le désir dans une relation durable. Le chemin pour atteindre cette intimité ne se fait pas sans effort.

Également :
La violence n’a pas de sexe
Dans la foulée de l’affaire Galcheniuk, de plus en plus d’hommes parlent de la violence qu’ils ont subie ou des failles d’un système de justice qui, pour protéger les femmes, accuse les hommes sans discernement.

Olivia PelkaOlivia Pelka

Je suis née à Montréal en 1968, dans une famille modeste d’immigrants français. J’ai commencé à travailler à temps plein à l’âge de 17 ans : secrétaire, soutien technique en bureautique, un peu de rédaction, un peu de traduction, un peu de programmation, en peu de mise en page, un peu de tout ça, pendant près de 15 ans.

Je suis devenue mère à 29 ans et ç'a profondément changé ma vie et ma vision du monde. Je m’étais crue jusque-là féministe, mais la maternité, à travers l’amour viscéral de mes enfants, m’a envoyée à la recherche des besoins fondamentaux de l’animal qu’est l’être humain. Cette quête s’est rapidement heurtée à mes molles convictions féministes. Au cours des années qui ont suivi, mes réflexions, mes lectures, puis l’éducation de mes enfants, et ma lente accession à l’épanouissement et au bonheur tant espérés depuis toujours, m’ont confirmée dans mon non-féminisme. Je me suis retirée progressivement du marché du travail, et me suis consacrée à l’éducation de mes enfants ainsi qu’à mon rôle de « reine du foyer », y trouvant de plus en plus de satisfaction.

Aujourd’hui, je me considère une femme libérée. Enfin.

StéphanieStéphanie

Génération X, blanche, d’origine européenne, francophone de naissance mais bilingue de cœur, Stéphanie a troqué des racines inexistantes pour des valises en barulant aux quatre coins du monde pendant plus de 30 ans. Après une maîtrise en communication à Purdue University (avec une spécialisation en études féministes) où elle était notamment présidente de la seule organisation étudiante féministe du campus, elle vit maintenant à Montréal, où elle enseigne la communication et la gestion au niveau universitaire.

« Toi, t’es née féministe » lui dit sa mère depuis plus de 40 ans. La pomme n’est pas tombée loin de l’arbre : arrière-petite fille de féministe, petite-fille de féministe et fille de féministe, Stéphanie est tombée dans les écrits de Simone de Beauvoir, Marylin French, bell hooks, Elisabeth Badinter, Virginia Woolf, etc. comme certains tombent dans la potion magique….

Stéphanie se demande pourquoi le discours public est monopolisé par l’agenda des féministes radicalisées qui ne représentent que certaines femmes, perpétuellement en colère, blanches, francophones, issues de la classe moyenne, géographiquement "insularisées", qui ne voient les hommes que comme des agresseurs potentiels et dont la myopie politique n’a égal que l’amnésie historique.

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