Passer au contenu
  • Accueil
  • À propos de JusteSix
  • Contactez-nous

Auteur : Jean-Francois Guay

Lettre à Martine

22 octobre 2019 Jean-Francois Guay Laisser un commentaire

Réponse à son texte : https://www.lapresse.ca/debats/opinions/201910/19/01-5246121-le-mecs-club.php Martine, comment je pourrais bin te dire ça. Tsé, je te vois à tv,…

Continuer à lire →

Publié dans : Féminisme, Femmes, Hommes, Justice

La carpette !

12 mars 2018 Jean-Francois Guay 3 Comments

…ou le « chantage » féministe Il faut du courage, voire de l’inconscience pour oser défier le courant idéologique des rien-pensantes post…

Continuer à lire →

Publié dans : Égalité, Féminisme, Femmes, Hommes

Vous ne comptez pas !

26 janvier 2018 Jean-Francois Guay 3 Comments

  Lettre à mes deux garçons Comme vient de le résumer si bien la chroniqueuse féministe de La Presse, Pascale…

Continuer à lire →

Publié dans : Égalité, Féminisme, Femmes, Hommes

La fois où j’ai été « violé »…

19 janvier 2018 Jean-Francois Guay 1 commentaire

certain“I went on a date with Aziz Ansari. It turned into the worst night of my life” Lorsque j’ai lu…

Continuer à lire →

Publié dans : Égalité, Femmes, Hommes, Non classé, Sexualité, Violence

Pour en finir avec la culture du viol

1 décembre 2017 Jean-Francois Guay 1 commentaire

Avez-vous vu le film Mourir à tue-tête d’Anne Claire Poirier ? C’est à la limite du supportable. Jeune homme à…

Continuer à lire →

Publié dans : Non classé

Féminisme : permis de tuer !

23 novembre 2017 Jean-Francois Guay 3 Comments

Le 6 décembre prochain, nous allons commémorer la pire tuerie de masse jamais perpétrée au Canada. Un tueur désaxé qui…

Continuer à lire →

Publié dans : Égalité, Féminisme, Justice, Violence

Le terrorisme d’opinion

3 novembre 2017 Jean-Francois Guay 29 Comments

Un climat malsain sévit en humour au Québec. Est-ce un passage nécessaire pour la fin de cette thérapie de groupe…

Continuer à lire →

Publié dans : Non classé

Que le tribunal Facebook se lève…

27 octobre 2017 Jean-Francois Guay 3 Comments

Nous avons un nouveau système de justice au Québec. Un système parallèle dans lequel les personnalités publiques peuvent non seulement…

Continuer à lire →

Publié dans : Justice, Médias sociaux, Sexualité

Dans le gris de la nuit

14 avril 2017 Jean-Francois Guay Laisser un commentaire

Nous sommes en 2027, Québec Solidaire est au pouvoir depuis un an et son gouvernement va de l’avant avec une…

Continuer à lire →

Publié dans : Égalité, Sexualité

L’égalité à tout prix?

31 mars 2017 Jean-Francois Guay 1 commentaire

Être féministe et pour l’égalité homme-femme ne devrait même pas être questionné. Les femmes doivent avoir les mêmes droits que…

Continuer à lire →

Publié dans : Condition masculine, Égalité, Féminisme, Femmes, Hommes

Suivez-nous

Articles récents

  • Polytechnique : une blessure fondatrice
    8 décembre 2019
  • Ouate the fuck?
    11 novembre 2019
  • Lettre à Martine
    22 octobre 2019
  • Homo sapiens sapiens sapiens, source de l’écoanxiété?
    6 octobre 2019
  • Les jeunes, l’environnement, la consommation
    30 septembre 2019
  • Sortir de l’hétérosexualité?
    24 septembre 2019
  • Suite à mon entrevue avec Sophie et Richard
    19 avril 2019
  • Vers un humanisme laïc
    18 avril 2019
  • Laissez aux femmes ce qui leur appartient
    8 mars 2019
  • Cessez de caricaturer notre position sur les trans!
    1 février 2019
  • Faire, ou ne pas faire des enfants (2)
    12 décembre 2018
  • Faire, ou ne pas faire des enfants (1)
    12 décembre 2018
  • Le SPVM recule… les offensés avancent
    24 novembre 2018
  • Lettre à Dominic Champagne
    14 novembre 2018
  • J’ai mal à mon féminisme
    12 juin 2018
  • Moineaux et moinelles, intersectionneaux et intersectionnelles
    10 mai 2018
  • Maxime Olivier Moutier analyse le néoféminisme
    4 avril 2018
  • Parité, équité, tasse de thé
    19 mars 2018
  • La Tribu – Première partie : Quand les femmes font étalage de leur vie privée sur les réseaux sociaux
    16 mars 2018
  • La carpette !
    12 mars 2018
  • Pourquoi « mégenrer »?
    8 mars 2018
  • Le président de la FFQ (Fausses féministes du Québec)
    19 février 2018
  • Le cas Larose: oui, sans doute, il fallait dénoncer
    6 février 2018
  • Femmes : nous ne serons jamais parfaitement en sécurité
    31 janvier 2018
  • Tranche de vie de femme
    30 janvier 2018
  • Vous ne comptez pas !
    26 janvier 2018
  • Quand le féminisme se tire dans le pied
    21 janvier 2018
  • La fois où j’ai été « violé »…
    19 janvier 2018
  • Ce qu’il aurait fallu faire (pour que la révolution #MeToo soit vécue sainement)
    12 janvier 2018
  • 2018: Déclaration d’amour à ma féminité
    31 décembre 2017
  • Il y a trop de « BYE » dans la vie de nos enfants
    15 décembre 2017
  • Pour en finir avec la culture du viol
    1 décembre 2017
  • Petite réflexion sur la campagne de pub du SCF
    30 novembre 2017
  • Fémini$me inc.
    29 novembre 2017
  • Féminisme : permis de tuer !
    23 novembre 2017
  • Imaginez que vous êtes un garçon
    12 novembre 2017
  • Le terrorisme d’opinion
    3 novembre 2017
  • Que le tribunal Facebook se lève…
    27 octobre 2017
  • Agressions et autres inconduites sexuelles – « Tu ne peux pas savoir : tu ne l’as pas vécu »
    26 octobre 2017
  • Ni viande, ni objet
    17 septembre 2017
  • Je suis une Super Victime
    19 mai 2017
  • Quand la science dérape
    16 mai 2017
  • La «trumpisation» de la cause masculine
    26 avril 2017
  • ​​​​Pas ma tasse de thé
    24 avril 2017
  • Sexisme systémique?
    21 avril 2017
  • Dans le gris de la nuit
    14 avril 2017
  • Avons-nous été élevés par les mêmes parents que nos frères et sœurs?
    13 avril 2017
  • Demain, le film: le chapitre oublié
    10 avril 2017
  • Nos errances égalitaristes
    3 avril 2017
  • L’égalité à tout prix?
    31 mars 2017
  • Simone, reviens!
    30 mars 2017
  • Une vision plus juste des relations hommes-femmes
    28 mars 2017
  • Con, mais pas conne ! (Le double standard)
    28 mars 2017
  • Élever son enfant: pas assez stimulant?
    28 mars 2017

Contactez-nous

  • justesix@gmail.com

Les blogueurs

Annie-Ève CollinAnnie-Ève Collin

Quand j’étais adolescente, mes parents disaient en riant affectueusement que j’étais militante féministe depuis que j’ai appris à parler. Je réagissais aux stéréotypes sexistes que je constatais dans les contes, dans les films.
J’ai étudié surtout en philosophie, le sujet de mon mémoire de maîtrise était les rapports entre les droits des femmes et le multiculturalisme. Je me suis aussi intéressée à diverses autres disciplines, notamment la biologie, la primatologie, la sociologie.
Je suis membre de Pour les droits des femmes du Québec (PDF-Québec). Je suis très critique du féminisme intersectionnel (envers lequel j’aime bien faire des remarques assassines à l’occasion). Vous constaterez, dans mes écrits, que j’accorde une grande importance à la logique et à la réalité, aux faits (ce qui ne veut pas dire que je ne fais jamais d’erreurs, j’en fais comme tout le monde, mais je refuse de tordre volontairement les faits dans des objectifs idéologiques).
Je suis très critique du discours sur le genre, de ce qu’est devenu le militantisme LGBTQ ; ce dernier sert aujourd’hui à véhiculer une misogynie décomplexée, et malheur aux femmes qui oseraient s’y objecter, elles seront classées comme TERF (trans exclusionnary radical feminist, féministe radicale qui exclut les trans). J’ai décidé de me réapproprier cette expression censée être injurieuse : je suis une TERF et fière de l’être. Je suis certes favorable à ce que les personnes trans jouissent des mêmes droits fondamentaux que tous, mais pas au détriment des femmes.
Je suis également anti-théiste et je considère que l’égalité entre les hommes et les femmes n’est possible qu’avec une laïcité ferme et clairement affirmée.

Benoit SéguinBenoit Séguin

Ce qui m'intéresse par dessus tout dans le cadre de ce blogue, c'est l'étude du biais féministe dans les médias de masse du Québec.
De nombreux mots et expressions entrent quotidiennement dans notre cerveau et participent à coloniser nos esprits : « Inégalité », « encore du travail à faire », « victime du patriarcat », « culture du viol », « écart salarial », etc. Vous pouvez compter sur moi pour passer au peigne fin ces formules consacrées lorsque les médias en abuseront.
Je m'inspire entre autres de la démarche du linguiste américain Noam Chomsky (Propagande, médias et démocratie) qui s’emploie depuis un demi-siècle à démontrer que nos médias, instrumentalisés par certaines élites, se font régulièrement les porte-voix d'idées reçues qu'ils prennent pour des prémisses indiscutables.
Montréalais de naissance et de culture, j’ai choisi la vie rurale au coeur d’un village de Lanaudière où je vis avec ma famille depuis une quinzaine d’années.
Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en littérature ainsi que d’un certificat en éducation, j’ai d’abord enseigné au secondaire avant de me tourner vers le cégep où j’enseigne la littérature depuis plus de vingt ans.
Auteur de deux pamphlets, Pour en finir avec l’école sacrifiée et Le Grand Mensonge de l’éducation (coécrit avec deux enseignants), je me consacre désormais à l’écriture romanesque : Le Pont des p’tites misères, La voix du maître, Et le Vent a soufflé sur la glaise.
Mon combat est centré sur l’éducation et la famille.
Ni à gauche ni à droite, pourtant héritier de ces deux tendances, je cherche constamment le centre à travers ma lecture du monde, celle que je vois se déployer ici, au Québec, dans le regard de mes enfants et de mes élèves.

Daniel GagnonDaniel Gagnon

Homme de contrastes, je suis né et j’ai grandi dans un quartier résidentiel à la campagne dans Charlevoix. Descendant, côté maternel, d’une famille d’intellectuels «de la grande ville» et du côté paternel de bâtisseurs du haut du Lac-Saint-Jean, j’assume fièrement cet héritage et cette dualité. Orphelin de père à 7 ans, artiste dans l’âme, j’ai inconsciemment cherché toute mon adolescence des modèles d’hommes forts et inspirants, me réfugiant dans les livres, mon imaginaire et une certaine passivité, souvent en marge de ma véritable nature masculine.

Après un DEC en arts et un baccalauréat en communication graphique, j’ai fait carrière comme communicateur visuel dans une multitude d’entreprises de presse, de design graphique et d’agences publicitaires, mettant à contribution mes talents créatifs autant que ma réflexion stratégique. Mes convictions m’ont très souvent porté vers les causes et clientèles du domaine de l’éducation, sociale et sociétale.

Père à temps plein de deux jeunes enfants, garçon et fille, je suis un "homme autonome", comme disait la chanson. Il y a quelques années, ma perception des enjeux de société qui concernent les hommes et les femmes a basculé suite à une séparation et des déboires juridiques catastrophiques, qui m’ont amené à me questionner profondément sur le couple, la justice, les dynamiques de violence conjugale et psychologique, et surtout sur les préjugés d'une société aux discours parfois manipulés par certains lobbys. Du posturalisme consensuel, je suis donc passé à une lucidité quelque peu désenchantée et à une franchise «à visière relevée». Je ne supporte pas l’hypocrisie et la rectitude politique. Je conserve toutefois la volonté ferme de demeurer bienveillant et sensible aux autres.

Anthropologue du dimanche depuis toujours, ma fascination pour l’humain et ses dynamiques ne s’est jamais démentie. Débatteur passionné, je m’intéresse aux enjeux de la société québécoise par un développement exhaustif de toutes les nuances et une recherche constante du «juste milieu», mais il m’arrive aussi de cristalliser ma pensée dans une conclusion-choc sans équivoque, digne d’un slogan publicitaire. Ou de témoigner avec humilité et franchise de ma vie d’humain, de citoyen, de conjoint et de père, en assumant pleinement la voix incarnée et l’autorité de l’homme de 48 ans que je suis, et que j’ai finalement retrouvé.

Jean-François GuayJean-François Guay

Jean-François Guay est auteur, journaliste et conférencier. Diplômé en art et technologies des médias, il a travaillé comme caricaturiste dans plusieurs quotidiens, dont La Presse, et a publié plusieurs articles dans Summum dont un dossier percutant sur les injustices du système judiciaire. Divorcé, il est père de trois adolescents dont il a la garde à temps plein.

Il est l'auteur de la collection de livres érotiques Osé qui s'est vendue à plus de 5000 exemplaires. Alors que peu d'hommes au Québec se sont aventurés sur le terrain de la littérature érotique, Jean-François Guay démontre à travers sa plume fine et lubrique que ce n'est pas une chasse gardée féminine: Osé se démarque tant par le côté intimiste de ses histoires que par des scénarios réalistes et sensibles dans lesquels il est facile pour le lecteur de se projeter.

M. Guay est aussi auteur d'un essai sur les dérapages de la rupture amoureuse à paraître prochainement.

En 2013, il donnait une conférence à l'occasion de la journée de l'homme sur un aspect méconnu de la violence conjugale : l'utilisation à mauvais escient du système judiciaire contre les hommes.

En 2016, il donnait une série de conférences, notamment au Salon de l'homme de Montréal sur :
Érotisme, le pouvoir de fantasmer à deux
L’importance de développer une grande intimité sexuelle pour nourrir le désir dans une relation durable. Le chemin pour atteindre cette intimité ne se fait pas sans effort.

Également :
La violence n’a pas de sexe
Dans la foulée de l’affaire Galcheniuk, de plus en plus d’hommes parlent de la violence qu’ils ont subie ou des failles d’un système de justice qui, pour protéger les femmes, accuse les hommes sans discernement.

Olivia PelkaOlivia Pelka

Je suis née à Montréal en 1968, dans une famille modeste d’immigrants français. J’ai commencé à travailler à temps plein à l’âge de 17 ans : secrétaire, soutien technique en bureautique, un peu de rédaction, un peu de traduction, un peu de programmation, en peu de mise en page, un peu de tout ça, pendant près de 15 ans.

Je suis devenue mère à 29 ans et ç'a profondément changé ma vie et ma vision du monde. Je m’étais crue jusque-là féministe, mais la maternité, à travers l’amour viscéral de mes enfants, m’a envoyée à la recherche des besoins fondamentaux de l’animal qu’est l’être humain. Cette quête s’est rapidement heurtée à mes molles convictions féministes. Au cours des années qui ont suivi, mes réflexions, mes lectures, puis l’éducation de mes enfants, et ma lente accession à l’épanouissement et au bonheur tant espérés depuis toujours, m’ont confirmée dans mon non-féminisme. Je me suis retirée progressivement du marché du travail, et me suis consacrée à l’éducation de mes enfants ainsi qu’à mon rôle de « reine du foyer », y trouvant de plus en plus de satisfaction.

Aujourd’hui, je me considère une femme libérée. Enfin.

StéphanieStéphanie

Génération X, blanche, d’origine européenne, francophone de naissance mais bilingue de cœur, Stéphanie a troqué des racines inexistantes pour des valises en barulant aux quatre coins du monde pendant plus de 30 ans. Après une maîtrise en communication à Purdue University (avec une spécialisation en études féministes) où elle était notamment présidente de la seule organisation étudiante féministe du campus, elle vit maintenant à Montréal, où elle enseigne la communication et la gestion au niveau universitaire.

« Toi, t’es née féministe » lui dit sa mère depuis plus de 40 ans. La pomme n’est pas tombée loin de l’arbre : arrière-petite fille de féministe, petite-fille de féministe et fille de féministe, Stéphanie est tombée dans les écrits de Simone de Beauvoir, Marylin French, bell hooks, Elisabeth Badinter, Virginia Woolf, etc. comme certains tombent dans la potion magique….

Stéphanie se demande pourquoi le discours public est monopolisé par l’agenda des féministes radicalisées qui ne représentent que certaines femmes, perpétuellement en colère, blanches, francophones, issues de la classe moyenne, géographiquement "insularisées", qui ne voient les hommes que comme des agresseurs potentiels et dont la myopie politique n’a égal que l’amnésie historique.

  • Accueil
  • À propos de JusteSix
  • Contactez-nous
Copyright © 2019 — Primer, un thème WordPress par GoDaddy