Simone, reviens!

Quand tu es morte j’avais 16 ans et j’ai perdu une grande sœur. J’ai tenté de faire mon deuil en relisant tes Mémoires d’une jeune fille rangée pendant que mes camarades de classe passaient des heures devant leur miroir à se maquiller et se coiffer. À chacune ses batailles : je préférais alors m’imaginer marchant dans les rues de Paris à tes côtés, ou encore attablées devant un café, une cigarette à la main, devisant de la lutte des femmes et du parcours initiatique de nos féminités. Et puis, en arrêtant de grandir pour me mettre à vieillir, je t’ai oubliée. Mais là, je t’appelle. Il est temps que tu te retournes dans ta tombe et que tu viennes nous hanter.

Depuis 2013, plus de 62% des emplois créés vont aux femmes

Myopie économique

Grâce à toi, et d’autres, nous avons tant accompli : les femmes sont plus présentes que les hommes sur les bancs d’universités; contraception et avortement sont aussi disponibles qu’aides à la procréation et garderies; la recherche sur nos problématiques de santé est largement financée; nous sommes présentes comme jamais dans toutes les sphères économiques, et nous en monopolisons même certaines (depuis 2013, plus de 62% des emplois créés vont aux femmes). Nous devrions nous réjouir et célébrer mais au lieu de ça, ceux et « ceuses » qui se disent féministes en 2017 nous assènent que le patriarcat est plus vivant que jamais.

Expliqueleur comment on devient une femme

On a besoin de toi, Simone. Au Québec, les femmes peuvent se vanter de pouvoir concilier job, conjoint(es) et enfant(s), de gagner autant que leurs collègues masculins, de laisser les chums s’occuper de la maison sans leur dire cent fois comment faire parce qu’on sait mieux; de pouvoir utiliser avec bonheur tous les atouts de notre féminité pour vivre AVEC les autres plutôt qu’être tout le temps CONTRE.

On a lu attentivement Le deuxième sexe et on est devenue des femmes. On a lu La Force des choses, senti tes réserves, tes regrets d’une vie solitaire que tu trouvais dorénavant égoïste. Bref, bien perchées sur tes épaules et celles des autres féministes des dernières générations, on a réussi à réduire le patriarcat à une infâme petite chose, blottie dans un coin, qui pointe son nez de temps à autre et qu’on renvoie à sa tanière, aidés de nos chums, nos fils, nos frères, nos patrons, nos collègues.

« Je mesure avec stupeur à quel point j’ai été flouée »

Tous coupables, toutes victimes

Pourtant, dans nos médias, chaque étude montrant les avancées des femmes est accompagnée d’un titre racoleur et alarmiste : les femmes gagnent moins, la diplomation des filles reculent, les femmes sont plus victimes de violence, etc. On nous présente invariablement comme de pauvres hères, subissant les injustices du système, les pressions de la maternité, les assauts incessants des satires et le poids du couple, du travail, de la famille, de ce vilain patriarcat. Nous plions sous les jougs, incapables de nous en sortir sans l’intervention salutaire de certaines, préférablement issues du Conseil du statut de la femme, qui se sont érigées en grandes inquisitrices corrigeant ceux et « ceuses » qui ne pensent pas comme il faudrait.

Reviens, Simone. Pousse-les à se souvenir, à célébrer, à exprimer de la gratitude pour le chemin parcouru. Montre-leur qu’au Québec, le « maudit » patriarcat n’est qu’une ombre pâlichonne de ce qu’il est en France, aux États-Unis et ailleurs. Dis-leur que les Québécoises devraient se « garrocher » partout en se vantant de leurs avancées, en montrant au monde le chemin parcouru. Mais surtout, rappelle-leur qu’elles sont là où elles en sont grâce aussi aux Québécois, qui maintenant auraient bien besoin de ne pas être laissés derrière.

Comment tu disais déjà? Ah oui : « Se vouloir libre, c’est aussi vouloir les autres libres. »

6 commentaires sur “Simone, reviens!”

  1. Très bon texte, et très juste analyse de la situation de la femme dans notre province.

  2. En fait je pense que celles qui pensent que les femmes (Québécoises) sont mieux traitées que ailleurs , je me pose la question . En effet je viens de faire le tour des administrations de la Province , des femmes que nenni . Vice-Ministres très très peu des Ministres encore moins (sauf au niveau fédérale, et là il faut voir les postes qui sont attribuées à la gente féminine ??)
    Mais la société reste profondément machiste, même au Québec. La différence de salaire existe, sauf dans les administrations !!! Encore que, il suffit de déclarer que le diplôme de la femme n’est pas égal à celui de l’homme pour en profiter.
    Que font les gouvernements pour atteindre l’équilibre budgétaire : établir le moins-disant social , moins de crèches , arrivée à l’école à 5 ans (au lieu de 3 ans en Europe), à ce moment qui s’occupe des enfants ??? La Mère . Donc je pense que la situation s’est améliorée mais que la lutte doit continuer.

    1. Salut Lechinois,

      Tu as des sources vérifiables SVP pour écrire que les femmes gagnant moins que les hommes?
      En parlant de ça le Québec est une des meilleurs places au monde pour les femmes. Ici elles ont une chance égale au départ. En fait elles ont plein de privilèges. L’égalité des chances ne veut pas dire l’égalité de réussite! Certaines deviennent Ministre et d’autres demeurent sur le BS avec de multiples enfants de pères différents. C’est pas une attaque je ne fais qu’une image avec des extrêmes. Malgré tous les avantages que les femmes ont obtenu indûment en fin de compte ce sont les choix personnels qui dictent là où elles vont aboutir et rien d’autre; surtout si elle est libérée!

      Sauf dans les administrations? Un homme prof gagne la même chose qu’une femme prof, un infirmier la même chose qu’une infirmière, etc… Toutes les conventions collectives protègent les deux genres! Si une femme gagne moins pour un travail égal elle a des recours juridiques car c’est anticonstitutionnel!

      http://www.terrafemina.com/emploi-a-carrieres/vie-travail/articles/36252-inegalites-salariales-ces-metiers-ou-les-femmes-gagnent-plus-que-les-hommes.html

      https://www.youtube.com/watch?v=7VAZx07rOKU

  3. Pas certains à quel niveau il faut prendre ce texte.

     »on a réussi à réduire le patriarcat à une infâme petite chose, blottie dans un coin, qui pointe son nez de temps à autre et qu’on renvoie à sa tanière »
    Cela me semble du mépris à l’égard des hommes. En fait c’est pénible de l’admettre mais c’est la vérité. Étrangement je me demande le ou les liens à faire avec la condition des enfants, des hommes et des femmes.

    Commençons par les enfants. Parfois je me questionne à savoir si la libération sexuelle n’a pas été confondue avec l’irresponsabilité parentale. Le mode de pensé qui dicte à la femme qu’elle a autant besoin d’un homme qu’un poisson a besoin d’une bicyclette s’est faire fausse route comme dirait Élisabeth Batinder. Libre à la femme de vivre sans homme, mais est-elle vraiment libérée pour autant?

    Ou êtes-vous sous le joug du CSF, de la FFQ, des syndicats fortement féministes, du Ministère de la condition Féminine et autres instances, il y en a une pléthore, qui loin de vous libérer vous transforment en suppôt de leur idéologie.
    Car dans la réalité lorsqu’un enfant vient au monde LUI il a besoin et du père et de la mère!

    Le piège de la haine, c’est qu’elle nous enlace trop étroitement à l’adversaire.
    -Milan Kundera

    « Nous devons répondre aux attaques dont nous sommes l’objet. »
    Catherine Bensaid,
    psychothérapeute,
    psychiatre

    « On dit souvent « tel père tel fils », sans se douter que, pour un garçon, c’est une bénédiction de pouvoir s’inscrire dans cette filiation et de se reconnaître dans le miroir de son père. »
    Bertrand Cramer
    Médecin, professeur de psychiatrie infantile et psychanalyste

    « Les fils sont élevés comme s’ils devraient rester des fils toute leur vie, sans qu’on pense le moins du monde qu’ils deviendront des pères. »

    « Car l’amour maternel, si l’on en juge par ce qu’il produit, est loin d’être toujours bénéfique. »
    Maurice T.Maschino
    « Y a-t-il de bonnes mères? »

    « Si c’est sa mère qui a besoin de se sentir aimée, cela peut prendre la forme d’une conspiration contre le père. La mère dénigre subtilement le père afin de monopoliser l’amour de l’enfant. C’est une tactique névrotique à double effet, qui prive l’enfant de son père et l’enferme dans un rapport névrotique avec sa mère. L’enfant n’a aucune chance de s’en sortir. »
    Arthur Janov,
    « L’AMOUR ET L’ENFANT »
    Champs Flammarion, page

    « De nombreuses causes sont donc à l’origine des difficultés que rencontre la sexualité humaine. La première de ces causes est l’attachement psychophysiologique à la mère pendant la gestation et les premiers mois de la vie. »
    *****
    « Tout, pour l’être humain, se joue là: si le père est assez fort pour contrebalancer la puissance de la Phantasmère, et si la mère est assez adulte pour libérer l’enfant, alors celui-ci pourra conquérir son autonomie. Mais il faut pour cela que les deux parents collaborent, que le père représente la Loi (….) »
    Gabrielle Rubin, psychologue et psychanalyste

    « La famille sera toujours la base des sociétés » (Balzac)

    « Ce que vivent nos enfants, nous n’avons pas fini de le comprendre, et j’ai décidé pour ma part de vous parler de leur besoin de père. »
    Christiane Olivier, psychanalyste

    « Les femmes doivent comprendre ce principe fondamental : l’enfant a besoin d’un repère de même sexe auquel se comparer, et un repère de sexe différent ou oedipien avec lequel ressentir la différence. »
    Christiane Olivier, psychanalyste
    « FILLES D’ÈVE », Denoël

    « Une société sans pères est une société sans repères. » Monsieur Tony Anatrella, éminent psychanalyste d’expérience.
    Il est possible de faire accepter par le peuple n’importe quelle loi, aussi impopulaire soit-elle; il suffit de trouver une façon de la présenter en disant que c’est pour le bien des enfants » – (SIC. Adolf Hitler)

    Rise And Fall Of The Third Reich par William L. Shirer

    For the best part of thirty years we have been conducting a vast experiment with the family, and now the results are in: the decline of the two-parent, married-couple family has resulted in poverty, ill-health, educational failure, unhappiness, anti-social behaviour, isolation and social exclusion for thousands of women, men and children.
    Experiments in Living: The Fatherless Family Un lien direct ici encore.

    « Et certaines idées féministes d’égalité entre les sexes auront sans doute plus contribué à dévaloriser les relations entre les hommes et les femmes qu’à vraiment les renouveler. Vécues à travers une symbolique homosexuelle (puisque telle est la revendication inconsciente des féministes) qui n’est pas créatrice de vie sociale entre les deux sexes, les relations hommes-femmes ne sont plus fondées sur « l’un est opposé à l’autre », mais « l’un est l’autre ».
    Tony Anatrella, psychanalyste, professeur de psychologie clinique, spécialiste de la psychologie juvénile, sexuelle et de problèmes de couples.
    « NON À LA SOCIÉTÉ DÉPRESSIVE », Champs Flammarion, 1995

    «Le XXIe siècle sera le siècle des factures à payer pour une éducation qui a fait de nos enfants des êtres malheureux, solitaires et étrangers… Ne perpétuons pas ce malentendu.»
    Claude B. Tedguy, psychanalyste
    The Politics of Fatherhood, Stephen Baskerville, Ph.D., Howard

    ….Virtually every major social pathology has been linked to fatherlessness: violent crime, drug and alcohol abuse, truancy, teen pregnancy, suicide—all correlate more strongly to fatherlessness than to any other single factor. The majority of prisoners, juvenile detention inmates, high school dropouts, pregnant teenagers, adolescent murderers, and rapists all come from fatherless homes. The connection is so strong that controlling for fatherlessness erases the relationships between race and crime and between low income and crime….
    ….Fatherlessness and the judicial–bureaucratic machinery connected with it have grown up together as increasingly worldwide phenomena….
    « (…) l’État court-circuite le rôle du père, prend sa place, le déloge de son statut et sape donc sa fonction séparatrice. »
    BORIS CYRULNIK, éthologiste
    DE L’INCESTE, Odile Jaciob, 2000, page 13

    « La famille monoparentale ne peut en aucun cas simplifier la route d’un enfant, qu’il soit fille ou garçon… »
    « Plus la relation mère-fils est unique et prolongée, plus la réaction de l’homme sera violent. »
    Christiane Olivier, psychanalyste

    « Car pour que l’enfant puisse se développer harmonieusement, il faut que la mère ait accepté le rôle castrateur de son propre père vis-à-vis d’elle, et le rôle castrateur de son mari vis-à-vis de leur enfant. »
    GABRIELLE RUBIN, psychanalyste (mère de deux enfants )
    Les sources inconscientes de la misogynie, Robert Laffont, 19

    1) « Moins la mère respecte la parole du père, plus le prix payé par l’enfant sera élevé. »
    Jacques Lacan, psychanalyste
    2) « La fonction paternelle est organisatrice du développement de l’enfant, car le père sépare l’enfant de la mère. »
    FRANÇOISE DOLTO (psychanalyste d’enfants)
    Jean-François de Sauverzac, Champs Flammarion, 1995, page 334
    3) « C’est au père de prendre lui-même l’autorité (…) »
    F.Dolto, SÉMINAIRES DE PSYCHANALYSES D’ENFANTS, page 203

    Conséquences mesurées (par faits statistiques), de l’absence du père dans la famille :
    False abuse allegations are only a small tile in the mosaic of vilifying the men in our society. They serve well in successful attempts to remove fathers from the lives of our children. Here are some statistics resulting from that which show more of the whole picture.
    79.6% of custodial mothers receive a support award
    29.9% of custodial fathers receive a support award.
    46.9% of non-custodial mothers totally default on support.
    26.9% of non-custodial fathers totally default on support.
    20.0% of non-custodial mothers pay support at some level
    61.0% of non-custodial fathers pay support at some level
    66.2% of single custodial mothers work less than full time.
    10.2% of single custodial fathers work less than full time.
    7.0% of single custodial mothers work more than 44 hours weekly.
    24.5% of single custodial fathers work more that 44 hours weekly.
    46.2% of single custodial mothers receive public assistance.
    20.8% of single custodial fathers receive public assistance. [Technical Analysis Paper No. 42 – U.S. Dept. of Health and Human Services – Office of Income Security Policy]
    40% of mothers reported that they had interfered with the fathers visitation to punish their ex-spouse. [« Frequency of Visitation » by Sanford Braver, American Journal of Orthopsychiatry]
    50% of mothers see no value in the fathers continued contact with his children. [« Surviving the Breakup » by Joan Berlin Kelly]
    90.2% of fathers with joint custody pay the support due.
    79.1% of fathers with visitation privileges pay the support due.
    44.5% of fathers with no visitation pay the support due.
    37.9% of fathers are denied any visitation.
    66% of all support not paid by non-custodial fathers is due to the inability to pay. [1988 Census « Child Support and Alimony: 1989 Series » P-60, No. 173 p.6-7, and « U.S. General Accounting Office Report » GAO/HRD-92-39FS January 1992]
    63% of youth suicides are from fatherless homes. [U. S. D.H.H.S. Bureau of the Census]
    90% of all homeless and runaway children are from fatherless homes.
    85% of all children that exhibit behavioral disorders come from fatherless homes. [Center for Disease Control]
    80% of rapist motivated with displaced anger come from fatherless homes. [Criminal Justice and Behavior, Vol. 14 p. 403-26]
    71% of all high school dropouts come from fatherless homes. [National Principals Association Report on the State of High Schools]
    70% of juveniles in state operated institutions come from fatherless homes
    [U.S. Dept. of Justice, Special Report, Sept., 1988]
    85% of all youths sitting in prisons grew up in a fatherless home. [Fulton County Georgia Jail Populations and Texas Dept. of Corrections, 1992]
    Nearly 2 of every 5 children in America do not live with their fathers. [US News and World Report, February 27, 1995, p.39]
    What does this mean? Children from fatherless homes are:
    4.6 times more likely to commit suicide,
    6.6 times to become teenaged mothers (if they are girls, of course),
    24.3 times more likely to run away,
    15.3 times more likely to have behavioral disorders,
    6.3 times more likely to be in a state-operated institutions,
    10.8 times more likely to commit rape,
    6.6 times more likely to drop out of school,
    15.3 times more likely to end up in prison while a teenager.
    (The calculation of the relative risks shown in the preceding list is based on 27% of children being in the care of single mothers.) and — compared to children who are in the care of two biological, married parents — children who are in the care of single mothers are:
    33 times more likely to be seriously abused (so that they will require medical attention), and
    73 times more likely to be killed. [The Child Abuse Crisis, a report by the Heritage Foundation]

    Il n’y a aucun doute sur l’influence négative du féminisme sur les enfants, tous les enfants. Et encore, je ne vous écrirai pas sur le décrochage scolaire dans ce billet mais il est hautement masculin dans un milieu très fortement féminin. Or, ceci doit bien être une inquiétude pour les parents aimants. Dans le cadre de mon travail j’ai rencontré des tas de femmes qui regrettent avoir été féministes. Maintenant confronté aux conséquences qu’elles vivent avec leurs enfants et en majorité elles vivent dans un foyer sans père. Car le terme  »monoparental », une invention des féministes, qui dans aucun cas ne peut être attribué aux enfants, est fallacieux.

    Voire une fraude psychologique qui affecte les enfants pour la vie. J’estime que maintenant je n’ai plus à élaborer d’avantage sur la condition de nos enfants piliers de la société à venir. Je suis profondément inquiets.

    Les hommes. (https://www.youtube.com/watch?v=YpFN5KT8pzw)

    Délaissés par les groupes de féministes qui ont cosigné une pétition contre l’aide aux hommes, ils demeurent sans aide. Pourtant le taux de suicides masculins est très connu. Délaissés également par notre système de justice à deux vitesses, entre autres, sachant d’avance qu’ils perdront leurs enfants en Cour, le risque de suicide à ce moment précis est de 10 à 11 fois plus élevé que dans le reste de la population.
    (http://www.avanticinevideo.com/fr/television/6/205/La_machine_a_broyer_les_hommes.htm)

    Ceci affecte aussi des femmes, leur mère, soeurs, amies, nouvelle conjointe et même leur ex qui auront à gérer l’adolescence de ces enfants dont elle a obtenu la garde quasi exclusive. Merci aux féminisme qui a fait un si beau travail de lavage de cerveau. En donnant tour ce pouvoir aux mères elles ont négligé les enfants au nom de l’égalité! Vraiment? Entre la théorie et la pratique… Et des mères en souffrent.

    En parlant de ça le Québec est une des meilleurs places au monde pour les femmes. Ici elles ont une chance égale au départ. En fait elles ont plein de privilèges. L’égalité des chances ne veut pas dire l’égalité de réussite! Certaines deviennent Ministre et d’autres demeurent sur le BS avec de multiples enfants de pères différents. C’est pas une attaque je ne fais qu’une image avec des extrêmes. Malgré tous les avantages que les femmes ont obtenu indûment en fin de compte ce sont les choix personnels qui dictent là où elles vont aboutir et rien; d’autre surtout si elle est libérée!

    https://www.youtube.com/watch?v=7VAZx07rOKU

    Réactions sociales. Les femmes sont de plus en plus seules, les hommes de plus en plus MGTOW. De moins en moins ils désirent des enfants ou une conjointe. Et j’en connais des tonnes qui ne veulent même plus jouir de la libération sexuelle, que le terme est bien placé ici.

    Faut, vraiment, se poser la question ici, partout où le féminisme impose son régime autant totalitaire que contrôlant le taux de dénatalité augmente. Le féminisme n’aime pas les femmes non plus!

    https://www.youtube.com/watch?v=PwDj9GmcLBE
    https://www.youtube.com/watch?v=cn6CKavOap0

    Et c’est la même chose au Québec! Il y a environ une dizaine d’années le JASP (Journée Annuelle de Santé Publique) dénonçait le fait que de plus en plus de jeunes femmes consommaient des antidépresseurs.

    https://www.youtube.com/watch?v=qH-mjGNqlHs
    https://www.youtube.com/watch?v=F_PTxpIjGXE

  4. Complètement délirant. Comment penser puis écrire de tels choses !!! Les hommes sont donc martyrisés par les femmes .
    Le décrochage scolaire la faute des femmes !!!
    Les emplois importants ( 1er Ministre, Ministre, etc) réservés aux femmes
    Les enfants traumatisés : la faute des femmes qui travaillent !!!
    Les meilleurs postes dans les services publics : pour les femmes
    Les meilleurs postes dans les Conseils d’administrations des grosses entreprises : réservés aux femmes (voir Chez Desmarais)
    http://www.studyramagrandesecoles.com/home_prepas.php?idRubrique=801&Id=12304

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