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Ni viande, ni objet

17 septembre 2017 Benoit Séguin Laisser un commentaire

Ni viande ni objet : tel est le titre d’une campagne de sensibilisation aux violences sexuelles lancée en avril dernier par…

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Je suis une Super Victime

19 mai 2017 Olivia Pelka 14 Comments

« Une femme sur trois sera agressée sexuellement dans sa vie. » On l’a tous entendue, cette statistique alarmiste. On nous…

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Publié dans : Égalité, Femmes, Hommes, Sexualité

Quand la science dérape

16 mai 2017 Benoit Séguin Laisser un commentaire

Violences sexuelles chez les ados en couples Par Benoit Séguin « Il y a la croyance que si tu es en…

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Publié dans : Égalité, Sexualité

La «trumpisation» de la cause masculine

26 avril 2017 Daniel Gagnon 2 Comments

Dans un texte d’opinion du 3 avril 2017 dans Le Devoir, publié par Julie Rambal, on cible «Ces hommes qui détestent…

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Publié dans : Égalité, Féminisme, Femmes, Hommes, Masculinisme

​​​​Pas ma tasse de thé

24 avril 2017 Benoit Séguin 5 Comments

​Vous souvenez-vous de cette vidéo qui a inondé le web l’an dernier? On y montrait deux bonhommes allumettes illustrant la…

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Sexisme systémique?

21 avril 2017 Benoit Séguin 3 Comments

Que pensez-vous de cette interprétation de l’IRIS, relayée par la chroniqueuse Josée Legault du Journal de Montréal? Dans un rapport…

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Publié dans : Non classé

Dans le gris de la nuit

14 avril 2017 Jean-Francois Guay Laisser un commentaire

Nous sommes en 2027, Québec Solidaire est au pouvoir depuis un an et son gouvernement va de l’avant avec une…

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Publié dans : Égalité, Sexualité

Avons-nous été élevés par les mêmes parents que nos frères et sœurs?

13 avril 2017 Olivia Pelka 1 commentaire

« Ces enfants-là ont tous été élevés de la même façon! Ils ont eu les mêmes parents, qui les ont…

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Publié dans : Éducation, Maternité et paternité

Demain, le film: le chapitre oublié

10 avril 2017 Olivia Pelka Laisser un commentaire

Le documentaire « Demain : le film », était récemment présenté au cégep de L’Assomption dans le cadre de la Semaine des éveilleurs…

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Publié dans : Égalité, Femmes, Hommes, Maternité et paternité, Monde du travail

Nos errances égalitaristes

3 avril 2017 Benoit Séguin Laisser un commentaire

Quand on lit des mots comme « inégaux » et « inégalité » huit fois dans un même article, ainsi que les mots « écart »…

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Publié dans : Éducation, Égalité, Féminisme, Femmes, Hommes, Masculinisme, Monde du travail, Non classé

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Les blogueurs

Annie-Ève CollinAnnie-Ève Collin

Quand j’étais adolescente, mes parents disaient en riant affectueusement que j’étais militante féministe depuis que j’ai appris à parler. Je réagissais aux stéréotypes sexistes que je constatais dans les contes, dans les films.
J’ai étudié surtout en philosophie, le sujet de mon mémoire de maîtrise était les rapports entre les droits des femmes et le multiculturalisme. Je me suis aussi intéressée à diverses autres disciplines, notamment la biologie, la primatologie, la sociologie.
Je suis membre de Pour les droits des femmes du Québec (PDF-Québec). Je suis très critique du féminisme intersectionnel (envers lequel j’aime bien faire des remarques assassines à l’occasion). Vous constaterez, dans mes écrits, que j’accorde une grande importance à la logique et à la réalité, aux faits (ce qui ne veut pas dire que je ne fais jamais d’erreurs, j’en fais comme tout le monde, mais je refuse de tordre volontairement les faits dans des objectifs idéologiques).
Je suis très critique du discours sur le genre, de ce qu’est devenu le militantisme LGBTQ ; ce dernier sert aujourd’hui à véhiculer une misogynie décomplexée, et malheur aux femmes qui oseraient s’y objecter, elles seront classées comme TERF (trans exclusionnary radical feminist, féministe radicale qui exclut les trans). J’ai décidé de me réapproprier cette expression censée être injurieuse : je suis une TERF et fière de l’être. Je suis certes favorable à ce que les personnes trans jouissent des mêmes droits fondamentaux que tous, mais pas au détriment des femmes.
Je suis également anti-théiste et je considère que l’égalité entre les hommes et les femmes n’est possible qu’avec une laïcité ferme et clairement affirmée.

Benoit SéguinBenoit Séguin

Ce qui m'intéresse par dessus tout dans le cadre de ce blogue, c'est l'étude du biais féministe dans les médias de masse du Québec.
De nombreux mots et expressions entrent quotidiennement dans notre cerveau et participent à coloniser nos esprits : « Inégalité », « encore du travail à faire », « victime du patriarcat », « culture du viol », « écart salarial », etc. Vous pouvez compter sur moi pour passer au peigne fin ces formules consacrées lorsque les médias en abuseront.
Je m'inspire entre autres de la démarche du linguiste américain Noam Chomsky (Propagande, médias et démocratie) qui s’emploie depuis un demi-siècle à démontrer que nos médias, instrumentalisés par certaines élites, se font régulièrement les porte-voix d'idées reçues qu'ils prennent pour des prémisses indiscutables.
Montréalais de naissance et de culture, j’ai choisi la vie rurale au coeur d’un village de Lanaudière où je vis avec ma famille depuis une quinzaine d’années.
Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en littérature ainsi que d’un certificat en éducation, j’ai d’abord enseigné au secondaire avant de me tourner vers le cégep où j’enseigne la littérature depuis plus de vingt ans.
Auteur de deux pamphlets, Pour en finir avec l’école sacrifiée et Le Grand Mensonge de l’éducation (coécrit avec deux enseignants), je me consacre désormais à l’écriture romanesque : Le Pont des p’tites misères, La voix du maître, Et le Vent a soufflé sur la glaise.
Mon combat est centré sur l’éducation et la famille.
Ni à gauche ni à droite, pourtant héritier de ces deux tendances, je cherche constamment le centre à travers ma lecture du monde, celle que je vois se déployer ici, au Québec, dans le regard de mes enfants et de mes élèves.

Daniel GagnonDaniel Gagnon

Homme de contrastes, je suis né et j’ai grandi dans un quartier résidentiel à la campagne dans Charlevoix. Descendant, côté maternel, d’une famille d’intellectuels «de la grande ville» et du côté paternel de bâtisseurs du haut du Lac-Saint-Jean, j’assume fièrement cet héritage et cette dualité. Orphelin de père à 7 ans, artiste dans l’âme, j’ai inconsciemment cherché toute mon adolescence des modèles d’hommes forts et inspirants, me réfugiant dans les livres, mon imaginaire et une certaine passivité, souvent en marge de ma véritable nature masculine.

Après un DEC en arts et un baccalauréat en communication graphique, j’ai fait carrière comme communicateur visuel dans une multitude d’entreprises de presse, de design graphique et d’agences publicitaires, mettant à contribution mes talents créatifs autant que ma réflexion stratégique. Mes convictions m’ont très souvent porté vers les causes et clientèles du domaine de l’éducation, sociale et sociétale.

Père à temps plein de deux jeunes enfants, garçon et fille, je suis un "homme autonome", comme disait la chanson. Il y a quelques années, ma perception des enjeux de société qui concernent les hommes et les femmes a basculé suite à une séparation et des déboires juridiques catastrophiques, qui m’ont amené à me questionner profondément sur le couple, la justice, les dynamiques de violence conjugale et psychologique, et surtout sur les préjugés d'une société aux discours parfois manipulés par certains lobbys. Du posturalisme consensuel, je suis donc passé à une lucidité quelque peu désenchantée et à une franchise «à visière relevée». Je ne supporte pas l’hypocrisie et la rectitude politique. Je conserve toutefois la volonté ferme de demeurer bienveillant et sensible aux autres.

Anthropologue du dimanche depuis toujours, ma fascination pour l’humain et ses dynamiques ne s’est jamais démentie. Débatteur passionné, je m’intéresse aux enjeux de la société québécoise par un développement exhaustif de toutes les nuances et une recherche constante du «juste milieu», mais il m’arrive aussi de cristalliser ma pensée dans une conclusion-choc sans équivoque, digne d’un slogan publicitaire. Ou de témoigner avec humilité et franchise de ma vie d’humain, de citoyen, de conjoint et de père, en assumant pleinement la voix incarnée et l’autorité de l’homme de 48 ans que je suis, et que j’ai finalement retrouvé.

Jean-François GuayJean-François Guay

Jean-François Guay est auteur, journaliste et conférencier. Diplômé en art et technologies des médias, il a travaillé comme caricaturiste dans plusieurs quotidiens, dont La Presse, et a publié plusieurs articles dans Summum dont un dossier percutant sur les injustices du système judiciaire. Divorcé, il est père de trois adolescents dont il a la garde à temps plein.

Il est l'auteur de la collection de livres érotiques Osé qui s'est vendue à plus de 5000 exemplaires. Alors que peu d'hommes au Québec se sont aventurés sur le terrain de la littérature érotique, Jean-François Guay démontre à travers sa plume fine et lubrique que ce n'est pas une chasse gardée féminine: Osé se démarque tant par le côté intimiste de ses histoires que par des scénarios réalistes et sensibles dans lesquels il est facile pour le lecteur de se projeter.

M. Guay est aussi auteur d'un essai sur les dérapages de la rupture amoureuse à paraître prochainement.

En 2013, il donnait une conférence à l'occasion de la journée de l'homme sur un aspect méconnu de la violence conjugale : l'utilisation à mauvais escient du système judiciaire contre les hommes.

En 2016, il donnait une série de conférences, notamment au Salon de l'homme de Montréal sur :
Érotisme, le pouvoir de fantasmer à deux
L’importance de développer une grande intimité sexuelle pour nourrir le désir dans une relation durable. Le chemin pour atteindre cette intimité ne se fait pas sans effort.

Également :
La violence n’a pas de sexe
Dans la foulée de l’affaire Galcheniuk, de plus en plus d’hommes parlent de la violence qu’ils ont subie ou des failles d’un système de justice qui, pour protéger les femmes, accuse les hommes sans discernement.

Olivia PelkaOlivia Pelka

Je suis née à Montréal en 1968, dans une famille modeste d’immigrants français. J’ai commencé à travailler à temps plein à l’âge de 17 ans : secrétaire, soutien technique en bureautique, un peu de rédaction, un peu de traduction, un peu de programmation, en peu de mise en page, un peu de tout ça, pendant près de 15 ans.

Je suis devenue mère à 29 ans et ç'a profondément changé ma vie et ma vision du monde. Je m’étais crue jusque-là féministe, mais la maternité, à travers l’amour viscéral de mes enfants, m’a envoyée à la recherche des besoins fondamentaux de l’animal qu’est l’être humain. Cette quête s’est rapidement heurtée à mes molles convictions féministes. Au cours des années qui ont suivi, mes réflexions, mes lectures, puis l’éducation de mes enfants, et ma lente accession à l’épanouissement et au bonheur tant espérés depuis toujours, m’ont confirmée dans mon non-féminisme. Je me suis retirée progressivement du marché du travail, et me suis consacrée à l’éducation de mes enfants ainsi qu’à mon rôle de « reine du foyer », y trouvant de plus en plus de satisfaction.

Aujourd’hui, je me considère une femme libérée. Enfin.

StéphanieStéphanie

Génération X, blanche, d’origine européenne, francophone de naissance mais bilingue de cœur, Stéphanie a troqué des racines inexistantes pour des valises en barulant aux quatre coins du monde pendant plus de 30 ans. Après une maîtrise en communication à Purdue University (avec une spécialisation en études féministes) où elle était notamment présidente de la seule organisation étudiante féministe du campus, elle vit maintenant à Montréal, où elle enseigne la communication et la gestion au niveau universitaire.

« Toi, t’es née féministe » lui dit sa mère depuis plus de 40 ans. La pomme n’est pas tombée loin de l’arbre : arrière-petite fille de féministe, petite-fille de féministe et fille de féministe, Stéphanie est tombée dans les écrits de Simone de Beauvoir, Marylin French, bell hooks, Elisabeth Badinter, Virginia Woolf, etc. comme certains tombent dans la potion magique….

Stéphanie se demande pourquoi le discours public est monopolisé par l’agenda des féministes radicalisées qui ne représentent que certaines femmes, perpétuellement en colère, blanches, francophones, issues de la classe moyenne, géographiquement "insularisées", qui ne voient les hommes que comme des agresseurs potentiels et dont la myopie politique n’a égal que l’amnésie historique.

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